Mots Paumés

Relecture poétique (conf., débats, visite musées...)
Entrée en scène sobre. Une voix feutrée. Le temps de se laisser apprivoiser. Et puis… l’instinct reprend le dessus. Mutations. Exit les points de repères. D’un tableau à l’autre, Mots Paumés jouit d’un malin plaisir à changer de monde. Observateur espiègle, ce caméléon daltonien s’applique à rester toujours planté à côté de la plaque. Né à 24 ans pendant une slam session, Mots Paumés choisit son nom de scène d’après son propre nom de famille, bien pratique : Maupomé.

Pour les organisateurs d’événements (débats, conférences, colloques, tables rondes, ateliers, etc.) qui cherchent des formes novatrices pour donner un relief différent à leurs programmes, l’artiste poète performeur Mots Paumés propose également une intervention originale. Un complément artistique qui s’adresse à d’autres sphères de la sensibilité. Un autre éclairage sur les propos échangés, une relecture poétique de l’événement... (cliquer sur l'icône)

copyright Greg Randon

Mots Paumés a le vertige de résumer sa vie en 13 lignes. Aime Pierre Desproges, Terry Gilliam, Omar Sosa & tellement d’autres... Aime les rêves irréalisables, les rêves réalisés, la tarte au citron, le son du gong et la vieille dame qui dit toujours "Ça s'est radouci, non ?". N'aime pas la pluie, la vieille dame qui pousse dans la file d'attente, et les prophètes de la fin du monde : "Mon dieu, j'vais tous mourir !".



copyright Greg Randon

Signe distinctif : Agité du buccal. Un "Je veux" sur la langue.
Qualité : Reconnaît ses défauts. Défaut : Compte trop sur ses qualités.
Signe astrologique : Caméléon daltonien. Ascendant : Carpe bavarde.
Amour : Vénus saura vous séduire. Sentiment, chair, possession.
Santé : Malgré la trentaine entamée, toujours pas de cancer.
Travail : Saltimbanque sculpteur d’histoires au scalpel.
Devise personnelle : Peu importent les flocons, pourvu qu’on ait l’Everest.
Mots Paumés assume sa schizophrénie. Mots Paumés n'a donc aucun problème à parler de lui à la 3ème personne.
À partir d'ici, vous en savez assez pour en apprendre plus ailleurs..."