Selfie Buddha
L’élégance d’une ambiance électro lyrique, d’une sensibilité saisissante, atypique.
Selfie Buddha tient son nom du célèbre Buddha de Ling Tao, qui fait face à la modernité déroutante de Hong Kong, découvert lors d’une tournée en Asie en 2017 avec une autre formation. Un symbole à l’image du projet artistique du trio mêlant électro, musique du monde et trance instrumentale.
Selfie Buddha nous invite à un voyage en terre inconnue, sous l’influence de Gorillaz, Dead Can Dance, Massive Attack.
En incluant leurs racines classiques dans un format résolument urbain et contemporain, ils racontent leurs engagements et révoltes.
On y retrouve une batterie préparée avec des éléments percussifs électro et traditionnels (djembé, tabla, cajón, zenko...), du violoncelle, de la harpe et de la guitare / basse sur des voix envoûtantes.
Jérémy Lecoq
[voix lead, violoncelle elect., guitares, machines]
Audacieux, en quête permanente d’une sonorité hybride et innovante autour du rock, de la harpe et du violoncelle.
La musique a toujours fait partie de l’univers de Jérémy. En tant que violoncelliste, il comprend adolescent que la musique fait « voyager », aussi bien physiquement que spirituellement, en participant à des tournées internationales en orchestre symphonique (Chine, USA, Canada, Pologne, République Tchèque…). Bassiste, chanteur, guitariste, il enseigne en école de musique, et ouvre sa propre structure de production à Paris : Studio Lecoq.
Multi-instrumentiste et chanteur ténor, depuis 2008, il compose et arrange pour lui-même et les autres. D’autres artistes lui font confiance pour diriger les sessions d’enregistrement, créer des arrangements originaux, et réaliser leurs albums.
Fin 2021, il s’associe avec le percussionniste multi-instrumentiste Nicolas Derolin et sa complice Ophélia Grimm à la harpe pour créer Selfie Buddha.
Ophélia Grimm<
[harpe elect., choeurs]
Elle utilise sa harpe comme un instrument hybride aux sonorités multiples !
Comme le poème de Rimbault dont elle porte le nom, Ophélia flotte comme un grand lys sur l’onde pure de la musique. Elle commence très tôt l’alto, puis quelques années plus tard se passionne pour la harpe. Ainsi , elle explore la voie classique de l’orchestre symphonique et les concerts solistes, Elle rencontre et travaille avec des auteurs et des musiciens comme Octavio Paz, Fernando Arrabal, Alain Jouffroy, Jean-Clarence Lambert, Jean-Loup Philippe, et Jean-Yves Bosseur...
A partir de 2011, elle commence à écrire sur la musique du compositeur Jérémy Lecoq et compose avec lui la partition d’un nouveau monde musical riches d’idées et de projets. Avec Selfie Buddha, elle utilise sa harpe comme un instrument hybride aux sonorités multiples.
"
Nicolas Derolin
[batterie, percussions, machines, choeurs]
Il intègre à la batterie le savoir-faire ancestral transmis par ses maîtres de la musique du monde
Autodidacte des percussions orientales, il a commencé son apprentissage des, en 1997, puis s’est perfectionné grâce à l’enseignement et aux rencontres de musiciens de renoms : Ibrahim El Minyawi (Egypte), Issam Houshan (Syrie/Los Angeles),Wassim Halal (Liban), Youssef Zayed (Palestine) , Mourad Fergani, (Algérie), Jil el Ghiwane (Maroc) , Amina Annabi (Tunisie), Mario Kirlis (Argentine).
Joueur polyvalent, il s’applique aujourd’hui à poursuivre sa passion pour les rythmes du monde à la batterie, en intégrant ce savoir-faire ancestral dans sa conception de l’instrument. Il apporte à Selfie Buddha un appui rythmique (d)étonnant."